13 planches à l’encre de chine sur carton blanc
format 505 X 705 mm, 2002
Obéron de Wieland est un de mes textes préférés.
Je le possède en édition française très rare.
Il est un personnage culte que j’ai traduit en dessin calligraphique
trait noir sur fond blanc.
Dans les cieux incandescents surgit la présence d’Obéron.
Il connaît le désarroi, l’exactitude du bonheur.
Mes dessins gestuels le rapellent à nous.
Il véhicule la ferveur et n’en perdra jamais le moindre fragment.
Le château d’Obéron en fausses pierres fond comme du sucre mouillé.
Construction éphémère avec des briques en argile anciennes.
Exposition personnelle au théâtre Epi Kolono, 2002.